Les contrevenants immatriculés à l'étranger représentent 15% des contrevenants au sein de l'Union européenne pour 5% du trafic.
En France, c'est 25% des contrevenants et jusqu’à 50% l'été pour un niveau de trafic équivalent.
Lutter contre l'impunité dont ils jouissent quand ils ne sont pas interceptés par les forces de contrôle est un enjeu important de sécurité routière.
La solution européenne : la directive de novembre 2011 facilite l’échange transfrontalier d’informations entre les États membres en matière d’infractions routières. Le but consiste à identifier, puis à poursuivre de tels contrevenants.