Selon les estimations de l’Observatoire national interministériel de la sécurité routière (ONISR), 229 personnes sont décédées en janvier 2023 sur les routes de France métropolitaine, pour 260 en janvier 2022, soit un recul de –12 %. On note en particulier une forte baisse du nombre de tués piétons (- 40 %) et une légère baisse du nombre de tués automobilistes (- 6 %), alors que le nombre de tués en 2RM augmente. Le nombre de tués à vélo ou en EDPm apparaît stable.
Selon l’estimation de l’ONISR, 974 personnes ont été blessées (1) gravement
229 tués
- 12 % par rapport à janvier 2022 (- 31 décès)
974 blessés graves
- 2 % par rapport à janvier 2022
Les accidents corporels de la circulation routière recensés par les forces de l’ordre sur les routes de France métropolitaine s’élèvent à 3 844 en janvier 2023, soit 2 % de plus qu’en janvier 2022.
L’actualité est venue rappeler l’effroyable douleur qu’est toujours un accident de la route
L'accidentalité routière du mois de janvier 2023 en France métropolitaine
33 piétons tués
191 blessés graves en janvier 2023
14 cyclistes tués
120 blessés graves en janvier 2023
2 usagers tués en EDPM
36 blessés graves en janvier 2023
132 automobilistes tués
331 blessés graves en janvier 2023
31 usagers tués à deux-roues motorisés
247 blessés graves en janvier 2023
Bilan de l''accidentalité routière du mois de janvier 2023 dans les Outre-mer
En janvier 2023, les forces de l’ordre ont enregistré outre-mer 261 accidents corporels de la circulation routière, une augmentation de 17% par rapport à la même période l’an dernier.
On dénombre 25 personnes décédées et 328 blessées dans les accidents enregistrés
261 accidents corporels
+ 17 % par rapport à janvier 2022
25 tués
+ 4 % par rapport à janvier 2022
328 blessés
+14% par rapport à janvier 2022
(1) Pour se conformer aux normes des statistiques européennes, l’ONISR publie, pour la France métropolitaine, une nouvelle série de données relatives aux blessés graves. Ces valeurs sont déterminées par une nouvelle méthode établie conjointement par l’Université Gustave Eiffel (UGE) et l’ONISR. Cette méthode s’appuie notamment sur les données récentes relatives aux blessés enregistrés par les forces de l’ordre mais vise à estimer le nombre réel des personnes blessées dans un accident de la route prises en charge par les services hospitaliers.